Philippe de NOAILLES, Duc de MOUCHY, Maréchal de France en 1 - Lot 170

Lot 170
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Estimation :
250 - 300 EUR
Philippe de NOAILLES, Duc de MOUCHY, Maréchal de France en 1 - Lot 170
Philippe de NOAILLES, Duc de MOUCHY, Maréchal de France en 1775 (1715- Guillotiné en 1794) 4 Lettres (L.A.S. et L.S.) L.A.S. «Le Comte de NOAILLES» à VERSAILLES 12 may 1762 - «Trouvez bon, Monsieur, que je réclame aujourd'hui le droit de vos premières armes et la peine que mon père eut de vous céder à Mr le Maréchal de BIRON pour vous demander avec instance votre amitié et vos conseils pour le Comte de LEVIS mon neveu qui vient d'obtenir le Régiment de Royal ROUSSILLON. J'espère que vous en serez content et qu'il aura le bon esprit de ne se conduire que par vos lumières sur tous les points, c'est bien ce que je lui ai recommandé...» - 2pp in-8° - + L.S. «NOAILLES» à VERSAILLES 4 Juin 1762 - «Je suis très flatté, monsieur, des sentiments que vous voulez bien me témoigner pour mon père et pour moi, et j'ai bien félicité Mr le comte de LEVIS d'être avec vous. Comme il ne pouvait pas encore se charger des demandes du Régiment, je me suis empressé de parler à M. DUBOIS pour M. De MARTIGNAC, et tout ce que vous lui désirez m'a été promis: mais le Ministre ne recevant de propositions que des Colonels pour les Officiers de leurs Régiments, je suis bien persuadé que votre intention est de vous adresser à l'avenir à Mr le Comte de LEVIS dans les occasions,...» - 1p in-8° - Souscription autographe «Mr le Comte de LEVIS (son neveu qui vient d'obtenir le Régiment de Royal ROUSSILLON.) est à Paris jusqu'au 1er de Juillet que je compte qu'il vous ira joindre.» + L.S. «NOAILLES» à VERSAILLES 27 juin 1762 - (Mr le Comte de LEVIS, son jeune neveu vient d'obtenir le Régiment de Royal ROUSSILLON.) - «On vient de ma promettre positivement, monsieur, de porter les fragments de votre premier Bataillon à MONTPELLIER où vous serez bien le plus tôt possible. Votre Colonel va vous joindre d'abord; Il est bon qu'il prenne de vos instructions pour connaître à fond les officiers de son Régiment; je désire qu'il s'en mêle sans me consulter; il est d'âge, avec vos conseils, à savoir se conduire. Dans le cas où il s'agirait de quelque affaire au dessus des forces de mon neveu, je me fera
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