Louis NICOLARDOT (Dijon (21) 1822 – Levallois-Perret 1888) J - Lot 479

Lot 479
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Estimation :
100 - 150 EUR
Louis NICOLARDOT (Dijon (21) 1822 – Levallois-Perret 1888) J - Lot 479
Louis NICOLARDOT (Dijon (21) 1822 – Levallois-Perret 1888) Journaliste, Critique littéraire, Écrivain - 2 Lettres A.S. (Une de son paraphe). Sans date. « Mon cher D’ARTOIS. Demain, je toucherai le mandat de 50, arraché à l’antipathie de ROUJON, je l’ai promis en acompte sur mon loyer… Par VILLEMESSAND dont DENTU conservait des reçus d’avances de 5 fr. ; par Louis Napoléon, pour suivi à Londres pour ses contributions ; par Molière, mis en prison pour dettes, je vous prie d’apporter, par provision, une pièce blanche ou jaune, afin que je ne sois pas au dépourvu. Paul BOURGET s’est mis à ma disposition, je lui ai écrit pour annoncer ma visite… Ce BOURGET est à la mode du jour ; écrivain et journaliste, ils ont tous la manie d’être invisibles, Je ne suis pas étonné de les savoir vous ennuyés et si prodigues d’erreurs dans toutes leurs chroniques. Je vais me plonger dans le Pétrone, grâce à vous. Mon La Fontaine vous plait-il ? Vérifiez mon langage, des Animaux là-bas, tout là-bas ; il y a déjà dans le champ des oiseaux une note de printemps. L’Hiver est-il fini ? J’en suis ivre de joie. » « « Jeudi j’ai écrit à BOURGET (Paul) pas de réponse… DEPASSE… m’a reçu comme un ancien confrère du NAIN JAUNE ; il m’a promis d’aller voir SPULLER et de lui parler avec zèle de l’affaire… Mille amitiés en attendant les inimitiés du NATIONAL. »
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