LA GUADELOUPE 1804-1848. 5 Lettres: Lettre de BASSE-TERRE (G - Lot 432

Lot 432
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LA GUADELOUPE 1804-1848. 5 Lettres: Lettre de BASSE-TERRE (G - Lot 432
LA GUADELOUPE 1804-1848. 5 Lettres: Lettre de BASSE-TERRE (Guadeloupe) le 25 Brumaire An 13 (16 Novembre 1804) signé BELLEGARDE. 6 pages in-4°, au sujet d’un procès entre le Général Ambert et Mr de Beaumont. «Je ne voulais que des facilités pour l’acquisition de (l’habitation de) BEAUSÉJOUR qui est de peu de valeur dans l’état où elle est, et qui demande des réparations immenses… mais comme elle est tout près de la grande rivière… Lolo… voudrait travailler aux moyens de se faire une fortune, mais… les entreprises qu’il avait faites dans son voyage de St Barthélémy et Saint Thomas se sont terminés par un naufrage qui a occasionné de grandes pertes. Il a aussi acheté une habitation…» + Lettre écrite de LA ROCHELLE le 27 Févier 1819, adressée à Mr FARCE PARFAIT en son Habitation à la grande Terre, Guadeloupe: «Je voudrais te parler de tes camarades, confrères d’infortune à la Guadeloupe, maintenant de retour en France… Je t’écris du 27, je ne sais quand le Bâtiment partira, il est en rade de La Rochelle, chargé de mules pour la Guadeloupe… j’apprends que je passe sous-Lieutenant…» + Lettre de BORDEAUX le 9 Mai 1837 adressée à Olivier BONNET à Sainte-Anne, Guadeloupe + Lettre commerciale de BORDEAUX le 9 Mai 1837, adresser à Olivier BONNET à Ste Anne Guadeloupe, au sujet de la vente de ses sucres de son Habitation. «Le projet de la loi sur la diminution des droits des sucres intimide les acheteurs. Le peu qui s’achetait, n’était qu’à des pacotilleurs, pressés d’argent… En attendant les sucres se vendent assez couramment sur notre place… l’abondance des sucres de betterave dans le nord de la France occasionne cette différence…» Joint 2 feuilles: «compte de vente et net produit de 20 barriques de sucres brut venues de la Guadeloupe…» + Pointe-à-Pitre (Guadeloupe) 11 Mars 1841, signé COLLIN RICHARDIÈRE, au sujet de son esclave Polidor, «constamment marron», tué par une patrouille de bois. «Malheureusement ce n’était pas une patrouille autorisée de sorte que nous n’en seront pas remboursés…» + Lettre de Pointe-à-Pitre (Guadeloupe) 8 Août 1848, adressée à un Institutrice à GAP (défauts et manque de mots). 6 mois après l’abolition de l’esclavage. L’écoulement de l’économie de la Guadeloupe et la déroute des colons. «…la république est venue, Chère Marie, et la révolution de Paris a renversé l’édifice colonial. La Colonie n’est plus une terre parfaite, riche et florissante. Ce n’est plus qu’un cadavre… tous les colons propriétaires sont ruinés, ils n’ont plus de bras pour le travail…»
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